Distributeurs automatiques de pizzas paninis tacos et casiers

Distributeurs automatiques de pizzas et de paninis/tacos

Actualités

20 avril 2021

Nouveaux exploitants Pizzadoor à Colmar ! Aurélie et Laurent Bleu, Lorenzo Pizzas

Le distributeur Pizzadoor by Adial … Un projet de couple !

Le point de départ de cette jolie histoire, la volonté pour Aurélie et Laurent de monter un projet tous les deux !

L’histoire a commencé il y a 10 ans, alors pâtissier de formation, Laurent, créé son entreprise en décembre 2008, il achète alors son premier camion à pizza. Dès 2009, il suit une formation et participe à un concours réunissant les meilleurs pizzaiolos et obtient le titre de champion de la plus belle pizza de France ! Un avenir prometteur pour Laurent ! Quelques années plus tard, il investit dans un second camion à pizza qu’il exploite avec sa maman.

C’est en 2015, que Laurent fait la rencontre de Marie-Ange Petit, responsable régionale des ventes chez Adial, pour évoquer l’installation d’un distributeur. Mais à l’époque, Laurent n’est pas équipé pour accueillir ce distributeur. Après avoir construit un laboratoire pour préparer les pizzas, c’est en 2020, qu’Aurélie et Laurent décident de se lancer conjointement dans la distribution automatique de pizzas artisanales avec Adial. Mais ne vous y trompez pas, c’est Aurélie qui est à la tête du distributeur et qui mène de front sa vie de famille, son travail à plein temps et la gestion de leur Pizzadoor.

La distribution automatique de pizzas artisanales a toujours été un projet dans l’esprit de Laurent : « En 2015, j’avais rencontré Marie-Ange qui m’avait convaincu, ensuite, j’ai un peu poussé mon épouse et je voulais surtout que l’on monte un projet ensemble ». Si Laurent s’occupe de l’exploitation des camions, Aurélie s’occupe de toute la partie gestion, et des ressources humaines, tout en ayant conservé son emploi dans un autre domaine.

Quatre camions et un distributeur !

Laurent nous fait part de sa volonté de continuer à développer l’activité : « On voulait continuer à développer, mais pas forcément avoir un quatrième camion, on avait déjà de gros investissements sur le laboratoire et on s’est dit que le distributeur était une activité intéressante et nouvelle. Les gens sont de plus en plus ouverts à la distribution automatique 24h/24 ».

Laurent nous explique aussi que pour exploiter les camions, « ce sont beaucoup d’extras qui ne travaillent que le soir, et on cherchait à leur donner une activité la journée pour pouvoir pérenniser les emplois ». Chaque semaine, ce sont trois tournées différentes qui sont effectuées dans plusieurs villages, les camions de Laurent sont présents sur 16 emplacements qui gravitent autour de Colmar

Aurélie mentionne un autre élément qui a poussé le couple à ouvrir un distributeur automatique de pizzas artisanales : « La conjoncture était propice, nous avons arrêté l’exploitation de nos camions pendant deux mois et on s’est dit que si ça continuait comme ça, il fallait que l’on trouve une alternative. Avec le couvre-feu, les camions ne peuvent plus sortir, donc le distributeur nous permet quand même de maintenir quelques emplois et de pouvoir continuer à servir les clients ».

Le choix d’un lieu très fréquenté pour implanter leur distributeur !

Sur le choix de l’emplacement du distributeur, Aurélie et Laurent se sont appuyés sur leurs connaissances : « C’est un lieu que l’on fréquente beaucoup, il est situé à la station-service de Cora à Houssen ». Un choix stratégique pour Aurélie et Laurent puisque : « La base de notre clientèle habite dans le périmètre et va faire ses courses là-bas, ils nous connaissent donc c’est rassurant pour eux ».

Aurélie nous précise : « Au départ on avait un autre lieu, mais nous avons attendu longtemps sans avoir de réponse, alors que Cora nous a suivi tout de suite, ce qui a pris du temps, ce sont les papiers et la formalisation ».

Le distributeur, Laurent en a parlé longtemps à Aurélie : « Cela fait 10 ans que Laurent me parle que de son distributeur, et comme nous menons le projet ensemble, nous en parlons très souvent, nous aimerions pourquoi pas en ouvrir deux ou trois ». Mais l’arrivée du distributeur n’a pas été sans conséquence sur la vie de ce couple : « Maintenant, lorsqu’il n’y a plus de pizzas le samedi à 18h00, il faut partir le recharger » plaisante Laurent.

Avec le couvre-feu, les clients commandent aussi des pizzas froides !

La situation actuelle impacte aussi la façon dont les pizzas sont consommées. « Depuis le couvre-feu, nous vendons plus de pizzas froides que chaudes, les gens vont les réchauffer chez eux. Avant le couvre-feu, on vendait des pizzas chaudes en pleine nuit, les jeunes sortaient plus facilement, aujourd’hui les ventes s’arrêtent à 18h ».

Mais Aurélie et Laurent essayent de contourner le problème : « Depuis que nous subissons le couvre-feu, nous avons mis en place une promo, la quatrième pizza achetée est offerte. Nous avons vraiment réfléchi pour proposer une réduction qui puisse les inciter à acheter leurs pizzas entre 8h00 et 18h00 ».

Le couple propose 11 pizzas différentes dans leur distributeur, contre 50 sortes dans les camions : « On a gardé les recettes les plus vendues, les best-sellers que l’on a au camion ».

Côté communication, on retrouve les promos sur Facebook et Instagram, Aurélie et Laurent animent la page tous les deux : « On regarde ensemble ce que l’on met et quand on a le temps, on publie ».

https://www.facebook.com/lplorenzopizza

À l’arrivée du distributeur, Laurent avait plus de craintes qu’Aurélie : « J’avais peur que ça ne fonctionne pas, et aussi la crainte que les pizzas soient moins bonnes que les pizzas distribuées aux camions.

On a beaucoup de félicitations et de retours positifs, mais on a toujours la crainte de savoir si les pizzas qu’on a vendues sont bonnes ». Aurélie, à contrario, était persuadée que ça allait marcher : « Je sais que le produit est bon, on a fait les tests pour qu’elles soient aussi bonnes que les pizzas distribuées dans les camions. En plus, c’est un lieu de passage et la renommée de Laurent a fait le reste. J’avais un peu moins de craintes que Laurent… Forcément, on a eu quelques commentaires négatifs, parce que c’est nouveau et que les gens ne connaissent pas, mais grâce au distributeur ça nous a permis d’avoir deux temps pleins en plus pour s’occuper du distributeur ».

Avant de se lancer avec Adial, Aurélie et Laurent ne sont pas allés voir de concurrents : « Laurent m’a toujours parlé de Marie-Ange et Adial, on a toujours eu un bon feeling, elle s’occupe bien de nous ».

Une dimension très humaine dans l’entreprise !

Laurent et Aurélie cultivent une ambiance très familiale dans leur entreprise, ils prennent le temps de former chaque nouvelle recrue et en général les gens restent longtemps aux côtés de ce couple.

Avant l’arrivée du distributeur, Aurélie nous raconte qu’ils ont fait un petit « teasing » : « On a annoncé qu’une surprise arrivait, mais on ne voulait pas trop le dire, car on voulait garder l’effet de surprise. On a essayé de garder le secret, et on l’a lancé d’un coup. Le jour où on a mis le nom sur le distributeur, on a commencé à faire de la publicité ».

Les conseils de ces convertis au Pizzadoor

Le conseil d’Aurélie à un futur exploitant de distributeur : « Il faut faire des pizzas de qualité, il y a de la préparation, mais il y a quand même un gain par rapport à la vente. Si les exploitants de distributeurs ne jouent pas le jeu, tous les distributeurs vont être catalogués et les gens vont penser qu’on ne trouve pas des bonnes pizzas dans un distributeur ». Aurélie précise aussi que pour accueillir un distributeur, « Il faut être équipé et prévoir de la place pour travailler et préparer les pizzas, pour les approvisionnements notamment ».

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